COG - NA - Plan d'urgence
SANTÉ ANIMALE
Congo / Santé animale
PLANIFICATION ET INTERVENTION D'URGENCE
PLANIFICATION D'URGENCE
questions
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Article 3. le Comité national de lutte contre l'épizootie de la crippe aviaire comprend:Une coordination, une comité technique
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Article 8 (Extrait) : La direction de la santé animale est dirigée
et animée par un directeur. Elle est chargée, notamment, de :
- veiller à la protection de la santé des espèces animales ;
- prévenir ou alerter sur les risques d’invasion par les enzooties, les épizooties et les panzooties ;
- instaurer et veiller à la mise en œuvre des systèmes de surveillance épidémiologique ; (...)
Article 1er (Extrait) : La direction générale de l'épidémiologie et de la lutte contre les maladies est l'organe technique qui assiste le ministre dans l'exercice de ses attributions en matière d'épidémiologie et de lutte contre les maladies. Elle est chargée, notamment, de : (...)
- concevoir, planifier, réaliser et évaluer la mise en oeuvre des programmes de lutte contre les maladies ; (...)
- participer à la définition et à la mise en place des mesures de prévention des calamités, des catastrophes et des accidents de toute nature et organiser la riposte ; (...)
- définir les stratégies de prévention et de lutte contre les maladies transmissibles et non transmissibles ; (...)
- organiser la réponse aux situations d'urgence créées par les épidémies ;
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Champ d’intervention 2 : Renforcement des interventions non spécifiquement de prévention et de réduction des risques de désastres, mais qui sont incontournables ou y contribuent substantiellement.
- Pour l’Action stratégique 1 :Appui pour le renforcement de la mise en œuvre de politiques, stratégies, plans, programmes sectoriels du Gouvernement, dont la réalisation est essentielle pour la prévention et la réduction des risques de désastres (RRD), à tous les niveaux.
Activités prioritaires: (...)
o Soutenir le développement ou l'amélioration, et la mise en œuvre (application) à tous les niveaux des politiques, stratégies et plans et programmes, relatifs aux domaines suivants :moyens de subsistance et protection sociale, aménagement du territoire, gestion de l’occupation et de l’utilisation des sols, planification et gestion urbaine, eau, hygiène et assainissement, protection et gestion durable de l'environnement et des ressources naturelles, logement et infrastructures, éducation, agriculture, santé, sécurité alimentaire, exploitation minière et pétrolière, énergie, décentralisation, et d’autres secteurs pertinents si besoin.
Article 1er : Est approuvé le plan national de riposte au coronavirus (Covid‐19), dont le texte est annexé au présent décret.
V. La Stratégie
V.1. Champs d’application de la stratégie
La Stratégie nationale stipule et définit les actions et étapes à entreprendre pour tendre vers la réalisation complète de la vision nationale.
Elle indique clairement les objectifs visés, les axes stratégiques, les champs d’intervention et les actions stratégiques à mettre en œuvre pour une période de sept (07) ans, de 2016 à 2023.
Une mise à jour est requise avant la fin de cette période pour définir les prochaines étapes à mettre en œuvre vers la réalisation complète de la vision du pays, et vers la réalisation du Cadre de Sendai pour la réduction des risques de
catastrophes (2015-2030) pour laquelle la République du Congo s’est également engagée avec les autres pays qui l’ont adopté.
Cette stratégie :
(i) S’applique aux Ministères et à tous départements, institutions et agences Gouvernementaux. Les partenaires et les autres parties prenantes sont encouragés à soutenir ses objectifs et sa mise en œuvre.
(ii) Couvre toutes les phases ou composantes de la gestion des risques de Catastrophes (GRC), à savoir : (a) l’évaluation, le suivi des risques et l’alerte précoce ; (b) la prévention et la réduction des risques de Catastrophes
(RRD) ; (c) la préparation aux Catastrophes; (d) la réponse d’urgence aux Catastrophes (ou réponses d’urgence post-Catastrophes) ; (e) le relèvement post-Catastrophes (ou relèvement post-urgence), et des interventions dites de relèvement précoce sont à assurer des la phase de réponse d’urgence.
(iii) Couvre tous les aléas (dangers ou menaces) de toutes origine et nature : aléas naturels et aléas anthropiques, incluant les aléas socio-naturels et technologiques et d’autres aléas d’origine socio-politico-économique.
Concernant les aléas naturels et socio-naturels, cette Stratégie couvre les événements résultant à la fois : (a) d’aléas dits « non fréquents mais entraînant de grandes conséquences », résultant généralement en undésastre « déclaré »
qui excède la capacité à faire face des communautés ou du pays en utilisant leurs propres ressources ; et (b) d’aléas dits « fréquents mais avec des conséquences souvent peu importantes en terme d’envergure », comme lors
des inondations fréquentes à des échelles très localisées, mais dont la gestion inadéquate entraîne d’importants effets cumulatifs, impactant grandement les populations affectées et les efforts de développement et de lutte
contre la pauvreté menés par le pays ou les collectivités décentralisées.
(iv) Considère et couvre les trois modalités ou aspects de la gestion des risques de catastrophes, à savoir : (a) La Gestion des risques de Catastrophes “Prospective” correspondant à des activités de gestion qui traitent et cherchent à
éviter le développement de nouveaux risques de Catastrophes ou l’accroissement des risques de Catastrophes, autrement dit « la prévention des risques de Catastrophes » ; (b) La Gestion des risques de Catastrophes
“Corrective” correspondant à activités de gestion qui traitent et cherchent à corriger ou réduire des risques de Catastrophes qui sont déjà présents (existants), autrement dit la « réduction des risques de Catastrophes » ; et (c) La Gestion des risques de Catastrophes “Compensatoire” correspondant aux activités de gestion des risques destinées à renforcer la résilience sociale et économique des individus et des sociétés, particulièrement face aux risques résiduels qui ne peuvent pas être effectivement réduits, incluant ainsi des actions entreprises pour prendre
en charge les risques résiduels et réduire les impacts sur les communautés et les sociétés en cas de Catastrophes.
Article 2 : Le comité national de lutte contre l'épizootie de la grippe aviaire est un organe d'orientation, de coordination, de décision, d'action et de contrôle de l'épizootie de la grippe aviaire. A ce titre, il est chargé notamment de : (...)
- élaborer et mettre en oeuvre le plan national d'intervention d'urgence.
Article 3 : Le comité national de lutte contre l’épizootie de la grippe aviaire comprend :
- une coordination ;
- un comité technique.
Article 4 (Extrait) : La coordination du comité national de lutte contre l’épizootie de la grippe aviaire est chargée, notamment, de : (...)
- faire prendre, le cas échéant, des mesures relatives à la déclaration de l’infection et de l’état d’urgence dès confirmation de la maladie ; (...)
- mobiliser les moyens humains, matériels et financiers nécessaires à la mise en oeuvre du plan national d’intervention d’urgence ;
(...)
- contrôler l’exécution des tâches assignées au comité technique.
Article 5 (Extrait) : La coordination du comité national de lutte contre l’épizootie de la grippe aviaire est composée ainsi qu’il suit :
Président : le Premier ministre, chargé de la coordination de
l’action du Gouvernement ;
Premier vice-président : le ministre chargé de l’agriculture et de
l’élevage ;
Deuxième vice-président : le ministre chargé du commerce et de
la consommation ;
Rapporteur : le ministre chargé de la santé;
Membres (...)
Article 6 (Extrait) : Le comité technique du comité national de lutte contre l’épizootie de la grippe aviaire est chargé, notamment, de : (...)
- assurer la mise en oeuvre du plan d’urgence ;
- assurer la mise en oeuvre du programme de lutte ; (...)
Article 7: Le comité technique de lutte contre l’épizootie de la
grippe aviaire est l’organe qui assiste la coordination dans
l’exécution de ses missions.
Article 8 (Extrait) : Le comité technique de lutte contre l’épizootie de la grippe aviaire est composé ainsi qu’il suit .
Président : le ministre chargé de l’élevage ;
Vice-président : le ministre, chargé l’économie forestière et de
l’environnement ;
Rapporteur : le représentant du ministre du commerce ;
Secrétaire : le représentant du ministre de la santé ;
Membres (...)
Article 14 : Les membres du comité technique sont nommés par la coordination sur proposition de leur structure respective.